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"....veiller sur les races sauvages et agitées, sur vos peuples récemment conquis, mi-diables, mi-enfants." 

Rudyard Kipling, écrivain britannique et un des plus fervents défenseurs de la colonisation. Dans son poème " Le fardeau de l'homme blanc", Kipling reprend l'idée répandue que les indigènes n'ont pas de civilisation et qu'on ne peut les considérer comme des hommes évolués ; selon lui, l'homme blanc a le devoir et la charge de les civiliser en s'exposant à de nombreux périls (le fardeau). 

La roue de l'infortune invite chacun à tirer au sort un destin double (gagnant / perdant). Douze pays, douze territoires, douze destins... Finalement l'histoire est un cycle qui se répète à travers les âges, seuls les noms changent. Les enjeux restent toujours les mêmes, l'enrichissement, l'argent...
Ce qui différencie les uns des autres n'est plus l'humain, ni la richesse culturelle. L'homme se dissout petit à petit laissant place aux chiffres... 

La roue de l'(in)Fortune

2019

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